elections generales peruviennes de 2021

Pedro Castillo signe une alliance avec Verónika Mendoza pour "fermer la voie" à Keiko Fujimori. L'alliance, appelée «Pour la refondation de notre souveraineté, justice et égalité», a été signée par les deux formations de gauche lors d'une réunion des dirigeants à Lima. L'accord vise à "fermer la voie aux forces autoritaires et corrompues et inaugurer une nouvelle époque où toutes les voix sont entendues et notre souveraineté récupérée, pour construire un nouveau pacte social à travers une Assemblée constituante populaire".

Le document comprend ainsi quatre points pertinents, parmi lesquels la crise sanitaire, sociale et économique dérivée du COVID-19 pour laquelle il s'est engagé à accéder à la vaccination universelle et gratuite, à la distribution d'oxygène ou au renforcement du système de santé publique. Il vise également à réactiver l'économie "en donnant la priorité à la création d'emplois et en sortant du modèle économique imposé par la dictature de Fujimori qui n'a favorisé que quelques privilégié.

Lors du débat sur les candidats à Chota, Cajamarca, le candidat à la présidentielle du Pérou Libre a déclaré que ceux qui commettent des actes de corruption doivent «restituer tout ce qu'ils ont volé».

Le droit romain fut le premier à inventer le concept de personnalité juridique, dissociant ainsi la personne de l'être humain. Celui qui est frappé par la mort civile est encore un être humain mais n'est plus une personne, puisqu'il n'a plus la personnalité juridique. — La «mort civile» 'est un terme utilisé pour définir la disqualification perpétuelle d'un politicien condamné pour corruption .

Pedro Castillo firma una alianza con Verónika Mendoza para "cerrar el paso" a Keiko Fujimori

MADRID, 6 May. (EUROPA PRESS) - El candidato presidencial de Perú Libre, Pedro Castillo, ha firmado este miércoles un acuerdo político con la excandidata de la coalición Nuevo Perú-Juntos por ...

https://www.europapress.es/internacional/noticia-pedro-castillo-firma-alianza-veronika-mendoza-cerrar-paso-keiko-fujimori-20210506052201.html

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Le candidat à la présidence du Pérou Libre, Pedro Castillo , a minimisé les récentes déclarations du prix Nobel de littérature, Mario Vargas Llosa , qui considérait que «les Péruviens devraient voter pour Keiko Fujimori» pour représenter «le moindre mal».

«Il y a l'expérience politique qui s'est produite. Les gens sont des adultes, nous sommes mûrs et chacun a une responsabilité et une position. Je ne vais pas m'en occuper, j'ai un agenda plus précis concernant les grands problèmes du peuple péruvien ».

, a-t-il déclaré au RPP Noticias.

Pedro Castillo sobre Mario Vargas Llosa: "No me voy a ocupar de ello"

El candidato presidencial por Perú Libre, Pedro Castillo , le restó importancia este domingo a las recientes declaraciones del premio Nobel de Literatura, Mario Vargas Llosa , quien consideró qu...

https://peru21.pe/politica/pedro-castillo-sobre-mario-vargas-llosa-no-me-voy-a-ocupar-de-ello-keiko-fujimori-nndc-noticia/

Mario Vargas Llosa a dit qu'il était un farouche anti-Fujimoriste, mais que s'est-il passé? Il a trahi ses principes et la crédibilité qu'il avait, la dernière chose qui est perdue est la dignité que la tromperie.

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Mario Vargas Llosa est une personnalité opportuniste qui s'est engagé en politique tout au long de sa vie. Ses opinions se sont progressivement glissées du communisme vers les personnalités impliquées dans la corruption néolibérale. Il suscite des réactions très négatives au Pérou. Défenseur de la révolution cubaine comme beaucoup d’écrivains de sa génération, il retourne sa veste dans les années 1970 et devient un fervent admirateur des penseurs néolibéraux.

Vargas Llosa est en mode Alzheimer...il n'y a pas d'autre réponse.

Le 10 octobre 2018, Keiko Fujimori est arrêtée par la police. Le 18 octobre, elle est libérée pour vice de procédure. Le 1er novembre, elle est de nouveau arrêtée. Sur décision du Tribunal constitutionnel, elle est libérée le 29 novembre 2019, après plus d'un an de détention provisoire. Elle est remise en prison le 29 janvier 2020. La justice fait droit à sa demande de libération sous caution le 30 avril suivant, dans le cadre de la pandémie de Covid-19 ; après le paiement d’une garantie financière de 70 000 soles (environ 19 000 euros), elle est relâchée le 5 mai.

En mars 2021, trente ans de prison sont requis à son encontre pour « blanchiment, appartenance au crime organisé, entrave à la justice et fausses déclarations ». La dissolution de son parti Force populaire est aussi demandée. Keiko Fujimori réagit en évoquant une « persécution », alors qu'une élection présidentielle à laquelle elle participe doit se tenir un mois plus tard.

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