cafe de la danse

Publié le 11 Janvier 2019

Le 30 Janvier 2019 au Café de la Danse, nous avons aussi des places disponibles pour un concours.

Sur ce dernier Keyvan a voulu le centrer autour du trio familial, tout en l'ouvrant vers le sous continent indien et vers la percussion occidentale avec deux instruments à cordes frottées qui tantôt concertent tantôt soutiennent l’édifice rythmique.

Sur ce dernier Keyvan a voulu le centrer autour du trio familial, tout en l'ouvrant vers le sous continent indien et vers la percussion occidentale avec deux instruments à cordes frottées qui tantôt concertent tantôt soutiennent l’édifice rythmique.

Générosité et ouverture, sésame de cette distribution hors du commun, pour permettre de transmettre et de partager une musique savante dans une architecture précise : pièces séquences faisant l’aller retour entre l’intérieur -méditatif, contemplatif- et l’extérieur -festif, explosif- sans jamais oublier les fondamentaux : le plaisir, le groove, la jubilation.

Une création à la Fondation Royaumont centrée autour du trio familial, qui ouvre vers le sous continent indien et vers la percussion occidentale avec deux instruments à cordes frottées qui tantôt concertent tantôt soutiennent l’édifice rythmique. Générosité et ouverture, sésame de cette distribution hors du commun, pour permettre de transmettre et de partager une musique savante dans une architecture précise : pièces séquences faisant l’aller retour entre l’intérieur -méditatif, contemplatif- et l’extérieur -festif, explosif- sans jamais oublier les fondamentaux : le plaisir, le groove, la jubilation.

Keyvan Chemirani élargit la grammaire rythmique persane du trio familial (zarb, daf, udu) aux syntaxes de l’Inde (Prabhu Edouard Music, tablas) et de l’improvisation européenne (avec Stéphane Galland, d’Aka Moon, batterie). Le recours aux cordes (Vincent Segal au violoncelle et Sokratis Sinopoulos à la lyre crétoise), dépasse le mélodique pour s’intéresser aux timbres et au micro-tonal. Le chant est présent, porté par chacun des sept instruments.

Une langue inconnue et familière s’invente ici.

Keyvan Chemirani (TRIO Chemirani), zarb, percussions, santour, direction artistique
Djamchid Chemirani, zarb, lecture
Bijan Chemirani (TRIO Chemirani), zarb, daf, saz
Prabhu Edouard Music, tablas, kanjira
Stéphane Galland, batterie
Vincent Segal, violoncelle
Sokratis Sinopoulos, lyra
Stella Julien, clarinette basse, beatbox

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 19 Février 2015

Depuis près de 40 ans et un certain enregistrement soliste pour harmonia mundi, Djamchid Chemirani (né à Téhéran en 1942) a poursuivi son cheminement avec, à ses côtés, deux fils : Keyvan et Bijan...jamais encore les Chemirani n’avaient atteint une telle limpidité du son issu de la fusion de leurs trois frappes ; c’est par la conscience jubilatoire de l’oeuvre engendré ensemble, qu’ils rejoignent l’expérience spirituelle si présente dans la culture iranienne.

Depuis près de 40 ans et un certain enregistrement soliste pour harmonia mundi, Djamchid Chemirani (né à Téhéran en 1942) a poursuivi son cheminement avec, à ses côtés, deux fils : Keyvan et Bijan...jamais encore les Chemirani n’avaient atteint une telle limpidité du son issu de la fusion de leurs trois frappes ; c’est par la conscience jubilatoire de l’oeuvre engendré ensemble, qu’ils rejoignent l’expérience spirituelle si présente dans la culture iranienne.

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Café de la Danse, #Trio Chemirani, #Concert, #Musiques du monde

Repost0