Publié le 20 Avril 2015
Publié le 19 Avril 2015
"Todos los musulmanes de nuestro Protectorado en Marruecos, impregnados del amor y la cultura que en ellos ha sembrado España, acuden en socorro inmediato al escuchar los clarines de la llamada de Occidente. (...) Ni levas ni propaganda. Voluntarios nada más. Por mandato del corazón" annonçaient les service de propagande du général
Clip rendant hommage aux hommes des troupes coloniales espagnoles.
Publié le 16 Avril 2015
Étendard flottant dans l'Empire! Ne suis-je ton esclave corps et âme? Glorifiez Malika la grande dame!
Le refrain de la chanson «Malika» est repris par les Aissawas dans leurs chansons louant Lalla Malika, fille du roi, qui est dit-on, une femme djiin très belle, et qui s’habille très bien. Elle est toujours joyeuse, aime rire, séduire et taquiner. Elle aime la couleur rose/mauve, le parfum et l'Oud el Qmari.
Lalla Malika possède la personnalité la plus élaborées des djiins féminins connus dans la région de Fès et Meknès. Elle aurait réellement existé : fille de riches notables, rebelle et libertine, elle aurait vécu à Fès au 18ème siècle une vie pleine de rebondissements. Cet art poético-musical présente des textes qui frisent parfois avec le libertinage en rendant honneur à tous les aspects de la vie qui vont des incantations religieuses à la beauté féminine sans omettre les allusions érotiques, en caricaturant les mesquineries des vanités humaines.