esclavage

Publié le 4 Juillet 2019

¡Nada más espantoso que la Inquisición católica!
¡Nada más espantoso que la Inquisición católica!

Creer en un Dios cruel hace al hombre cruel. ¡No creas especialmente que la Iglesia ha evolucionado, que abandona sus pretensiones de antes! ¡Los católicos están listos para volver a ofender ... En nombre de Humanidad y Progreso, bloquean su camino y luchan contra ellos sin debilitarse!

La iglesia católica es esencialmente intolerante. Esto se deriva de sus propios principios. Ella dice que representa a Dios en la tierra. ¡No creas especialmente que la Iglesia ha evolucionado, que abandona sus pretensiones de antes! El cristianismo es la religión más criminal de la historia, es la única ideología que comparte con el comunismo y el nazismo el podio dedicado a las ideologías más letales de la historia humana.

Las Cruzadas: la primera cruzada convocada por el Papa Urbano II el 27 de noviembre de 1095, causará la muerte de más de un millón de personas en condiciones aterradoras. Urbain fue beatificado el 14/07/1881. Siete más cruzadas siguieron. Las víctimas se estiman en 22 millones en total.

La psicosis de las brujas que padecía la Iglesia y que duró hasta el siglo XIX mató a entre 40.000 y 80.000 personas.

Las estimaciones del número de víctimas de la inquisición son tan altas como 9 millones. Este gran número incluye a las víctimas de las guerras de religión.

La conquista de América, en primer lugar por los católicos, en 150 años costó la vida a unos 100 millones de personas. Leonardo Boff, teólogo católico, dice de la conquista de América que ella fue el genocidio más grande de todos los tiempos. Todo había sucedido en ese momento, como si los indios, los nativos americanos y los africanos encontrados en su propio espacio vital no tuvieran biología ni cultura ni alma.

El comercio de esclavos, de los cuales 13 millones de africanos fueron víctimas hasta el siglo XIX, fue aprobado por la Iglesia Católica Romana  que la practicó ella misma. El Vaticano fue uno de los últimos estados europeos en abolir la esclavitud en 1938.

 

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Religion, #Esclavage

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Publié le 10 Mai 2019

Profitons de ce vendredi 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Pourtant on entend encore des ex coloniaux belges dire qu'ils sont été déçus parce que le Congo avait été merveilleusement équipé de routes, de chemins de fer, d'hôpitaux et que la décolonisation a détruit tout cela...
Profitons de ce vendredi 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Pourtant on entend encore des ex coloniaux belges dire qu'ils sont été déçus parce que le Congo avait été merveilleusement équipé de routes, de chemins de fer, d'hôpitaux et que la décolonisation a détruit tout cela...

Profitons de ce vendredi 10 mai, journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Pourtant on entend encore des ex coloniaux belges dire qu'ils sont été déçus parce que le Congo avait été merveilleusement équipé de routes, de chemins de fer, d'hôpitaux et que la décolonisation a détruit tout cela...

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Publié dans #Esclavage, #Congo

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Publié le 11 Avril 2019

La connaissance musicale de ces traditions se transmet oralement de génération en génération, les jeunes exécutants étant guidés par des musiciens plus expérimentés. Avec un fort pourcentage de la population afro-colombienne de la région ayant émigré vers les zones urbaines au cours des dernières décennies, son patrimoine musical demeure une source importante d’identité communautaire, que ce soit dans ses villages d’origine ou en ville.

Unesco

Parmi les musiques urbaines colombienne, figure la Champeta, aux rythmes venus du Palenque de San Basilio, des Congos (soukous) et des Antilles (zouk). Ce genre musical est aujourd'hui un vrai phénomène musical et social, omniprésent sur toute la côte Caraïbe de la Colombie et représente un véritable phénomène culturel et un genre musical particulier en Colombie en identifiant le mieux la culture des descendants des esclaves africains. Avec un langage populaire les champeteros sont inventifs, ils chantent leurs expériences de vie. Les paroles, superposées sur des titres africains ou avec de la musique originale et s’attaquent à l’exclusion sociale et économique en exprimant leurs rêves de changement et de progrès.

Palenque de San Basilio ou San Basilio de Palenque est un village situé dans les contreforts des Montes de María au nord de la Colombie. Le village de Palenque de San Basilio, qui compte près de 3 500 habitants, est situé dans les contreforts des Montes de María, à 70 kilomètres au sud de Carthagène, la capitale régionale. Ce village fut fondé au XVIIe siècle par des fugitifs de ce qui était alors le principal port négrier de la Couronne espagnole. Les “palenques” sont traditionnellement des refuges d’esclaves marrons et la communauté de San Basilio qui représente un irréductible coin d’Afrique en Colombie, en relative autarcie depuis l’époque coloniale.

L’organisation sociale de la communauté afro-colombienne est fondée sur les réseaux familiaux et sur des groupes d’âges appelés ma-kuagro. L’appartenance au kuagro crée entre les membres du groupe un ensemble de droits et de devoirs et se caractérise par une forte solidarité interne. L’une des originalités de Palenque de San Basilio est sa langue. Le palenquero est le premier signe de l’identité du village. 

Ils parlent la seule langue créole des Amériques à associer une base lexicale espagnole et des caractéristiques grammaticales des langues bantoues autochtones du continent africain.

Un portrait musical de Palenque de San Basilio

Les rites afro-colombiens qui ont influencé une grande partie de la côte caraïbe de la Colombie et d’autres régions du pays ont pour but la commémoration d’un événement ou d’un rite funèbre. Outre la musique et la langue créole, la danse est la reconnaissance de la culture, de la coexistence, de l'ethnicité et de l'abolition de l'esclavage. La côte pacifique colombienne est une région a dominante noire; le currulao (ou danse Marimba) est la principale danse de cette région. Le Currulao  est un événement festif. Les hommes jouent de la Marimba et interprètent des chants profanes, tandis que les gens chantent, dansent, mangent, boivent, et racontent des histoires.

Cette musique est d'origine africaine et dérive de la culture des esclaves.

Les arts, et en particulier la musique colombienne, ont reçu un apport important des Afro-Colombiens. La cumbia, le vallenato, le currulao et la champeta sont des styles musicaux directement issus de la culture afro-colombienne. Selon leurs traditions, la musique joue un rôle très important dans la culture, qui accompagne la plupart des rites et des célébrations, en particulier le lumbalú.

La musique Palenquera est joyeuse et s’exprime dans des danses telles que: l’entrompao, le pa raíto ou la promenade, la danse à deux ou le mapalé (danse qui célèbre la liberté), le púyala, le son palenquero, la chalusonga, la champeta. Mais dans de nombreux rites, la musique accompagne également les rites de douleur, tels que ceux mentionnés dans le "lumbalu". Celles-ci sont basées sur la religiosité palenquera et son organisation sociale.

La « champeta », musique afro-colombienne

Avec un fort pourcentage de la population afro-colombienne de la région ayant émigré vers les zones urbaines au cours des dernières décennies, son patrimoine musical demeure une source importante d’identité communautaire, que ce soit dans ses villages d’origine ou en ville. Parmi les musiques urbaines colombienne, figure la Champeta, aux rythmes venus du Palenque de San Basilio, des Congos (soukous) et des Antilles (zouk). 

Dans les années 1920, une importante diaspora de Palenque s'installe vers les villes du Nord de Colombie. La musique de Palenque suivra cette population pour s'intensifier ensuite dans tout le pays. C’est dans les années 1970, qu’apparaîtra un nouvel acteur capital dans la diffusion de cette musique: les premiers sound systems locaux : les picos.

Une rétrospective de l'histoire musicale et de la danse de l'un des genres populaires les plus traditionnels de la Colombie: La champeta. Avec une mise en scène colorée, plus de 20 danseurs sur scène, des musiciens en direct et une histoire riche en saveurs, les spectateurs connaîtront de bout en bout la chronologie de l'origine de ce genre qui est apprécié aujourd'hui non seulement en Colombie. mais aussi dans le monde entier.

Palenque : un irréductible coin d'Afrique en Colombie

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Palenque, #Colombie, #musique colombienne, #esclavage, #champeta

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